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Chez OIKOPOLIS, on compense son empreinte carbone

Cette année encore et pour la 6ème fois d’affilée, les sociétés du groupe OIKOPOLIS ont compensé les émissions de dioxyde de carbone générées ou plutôt non évitées par ses activités durant l’exercice écoulé, à savoir celui de 2017.

La base de calcul étant fournie par un outil confectionné individuellement par une équipe de chercheurs scientifiques, le volume total des impacts climatiques de nos activités a atteint 1.758 tonnes d’équivalents de CO₂ en 2017. Comme d’habitude, on a fixé un « prix » de 20 euros par tonne, soit un montant total de 35.160 EUR – réparti à parts égales entre les filiales aînées d’OIKOPOLIS, à savoir NATURATA, BIOGROS et OIKOPOLIS Services (anc. OEKimmO).

Compte tenu des effets climatiques positifs de l’agriculture biologique (voir info supplémentaire au pied de page), les bénéficiaires de la dite compensation sont des institutions indépendantes qui s’occupent de la promotion de l’agriculture biologique soit au Luxembourg soit à l’échelle européenne. Dans ce sens, NATURATA a versé le premier tiers du montant compensatoire (11.720 EUR) à l’Institut fir Biologësch Landwirtschaft an Agrarkultur Luxemburg a.s.b.l. (IBLA), pendant que BIOGROS a versé le même montant à Bio-Lëtzebuerg Vereenegung fir Bio-Landwirtschaft Lëtzebuerg a.s.b.l. Le donataire de la dernière partie du total, notre prestataire de services centraux (OIKOPOLIS Services) a choisi de faire don des 11.720 euros en question à la section de l’agriculture au sein du Goetheanum à Dornach/Suisse.

La remise des chèques symboliques s’est fait à Munsbach, le 1er juillet.

Actu20190702_CO2_Kompensation

IMAGE: Les chèques symboliques ont été présentés par les administrateurs délégués des trois filiales d'OIKOPOLIS (de g. à dr.) : Sigmund Walbaum (NATURATA) avec Dr. Stéphanie Zimmer (directrice d'IBLA), Patrick Kolbusch (BIOGROS) avec Daniela Noesen (directrice de Bio-Lëtzebuerg) et Änder Schanck, PDG du groupe OIKOPOLIS et gérant d'OIKOPOLIS Services.

Info supplémentaire :

Démontré par maintes études scientifiques, le rôle constructif de l’agriculture biologique pour la protection du climat repose sur plusieurs éléments, dont la préservation d’une bonne qualité du sol et des eaux. Quant à l’air, l’agriculture biologique en peut améliorer sa qualité de manière particulièrement efficace, car les sols riches en humus disposent d’un fort potentiel d’accumuler le carbone et de lier le CO₂. En général, les aliments biologiques présentent un meilleur bilan environnemental et climatique que ses contreparties conventionnelles.

En savoir plus sur nos mesures écoresponsables (ménagement de ressources naturelles, protection de l'environnement...)